Vos données. Votre choix.

Si vous n’acceptez que les cookies essentiels, nous utilisons des cookies et des technologies similaires pour collecter des informations sur votre appareil et votre comportement d’utilisation sur notre site Internet. Nous en avons besoin pour vous permettre, par exemple, de vous connecter en toute sécurité et d’utiliser des fonctions de base telles que le panier d’achats.

Si vous acceptez tous les cookies, nous pouvons également utiliser ces informations afin de vous afficher des offres personnalisées, améliorer nos sites et vous présenter des annonces publicitaires ciblées sur nos sites et d’autres sites ainsi que sur nos applications. Cela nous permet également de transmettre certaines données à des tiers et à nos partenaires publicitaires.

Luca Fontana
Test de produit

L’OLED en mieux ? Qu’a le Panasonic Z85A dans le ventre ?

Luca Fontana
25/1/2025
Traduction : Sophie Boissonneau

Panasonic Z85A à l’essai : un OLED de milieu de gamme aux grosses ambitions peut-il rivaliser avec les ténors de LG et Samsung ?

Pour info : la version 65 pouces du Z85A a été mise à ma disposition par Panasonic pour ce test. Le fabricant n’a cependant aucune influence sur le résultat de ce test, mon opinion et le processus de test.

Je suis donc heureux d’avoir à nouveau l’occasion d’examiner un téléviseur Panasonic de plus près. Et ce au bon moment, car il y a quelques jours à peine, Panasonic a fait sensation au CES 2025 en annonçant sa nouvelle dalle Tandem OLED, une technologie censée être plus lumineuse et performante que tout ce que LG propose actuellement.

Mais revenons-en à nos moutons, le Panasonic Z85A, un modèle de 2024 équipé de la même dalle que la populaire série C de LG. Reste à déterminer si Panasonic a vraiment mis le paquet pour ce téléviseur. L’interaction entre le matériel de LG et le logiciel de Panasonic peut-elle sérieusement tenir tête à la concurrence ?

Design : finesse et sobriété, ça me plaît

Entre le meuble et le bas de la TV, je ne mesure aussi que 4,5 cm, ce qui ne suffit pas pour la plupart des barres de son. Ma Sonos Arc, par exemple, cache le capteur infrarouge du téléviseur, ce qui rend son allumage et son extinction pénible à chaque fois.

Passons aux caractéristiques du Z85A de LG :

  • 4 ports HDMI 2.1, dont un avec eARC (4K 120 Hz) ;
  • 2 ports USB-A, 1 port USB-C ;
  • 1 sortie Toslink ;
  • 1 port LAN ;
  • 1 connecteur CI ;
  • des connexions pour antennes ;
  • Bluetooth ;
  • WiFi ;
  • commande vocale avec Alexa.

Mesures : couleurs au top, luminosité au raz des pâquerettes

Voici l’essentiel en bref :

Venons-en aux mesures. J’ai mesuré tous les modes d’écran du téléviseur sans faire d’étalonnage, tel qu’il est configuré à la sortie de l’emballage. J’ai très peu touché aux paramètres :

  • mouvements : je règle « Intelligent Frame Creation » sur « moyen » pour éviter que l’image se bloque. Pour les puristes, je recommande toutefois le réglage « faible » pour éviter l’effet soap opera.
  • J’ai désactivé tous les paramètres d’économie d’énergie et de réglage automatique de la luminosité.

Luminosité maximale

Dans le graphique ci-dessous, je compare le Z85A à ses concurrents OLED 2024 de la maison LG et Samsung, le G4 et le S95D.

Ma première impression est un peu décevante.

Le Z85A de Panasonic, représenté par la courbe orange, émet 809 cd/m² sur une très petite partie de l’image (2 % Window), soit à peine la moitié de la luminosité du S95D de Samsung et nettement moins que le G4 de LG. Le Z85A se montre également moins performant en termes de luminosité totale (100 % window), c’est-à-dire pour une portion d’image couvrant toute la surface d’affichage.

Le S95D de Samsung, testé ici, joue dans une ligue similaire à celle du G4 de LG : en tant que téléviseur QD OLED, il est, de par sa technologie, plus lumineux que les dalles OLED traditionnelles et par conséquent beaucoup plus cher.

Si je compare les résultats avec ceux d’autres magazines du secteur, comme Rtngs.com (site en anglais), il apparaît que le Z85A est légèrement moins lumineux que le C4 de LG. La différence est en moyenne de 50 cd/m², une valeur à peine perceptible à l’œil nu.

Balance des blancs, couverture de l’espace colorimétrique et fidélité des couleurs

Voyons désormais si le Z85A de Panasonic reproduit bien le blanc, les couleurs et les nuances de gris. Pour me faire une idée, je vais répondre aux trois questions suivantes :

  1. EOTF, balance des blancs et équilibre des couleurs : le téléviseur affiche-t-il l’échelle des gris neutres de manière précise ?
  2. Couverture de l’espace colorimétrique : combien de couleurs le moniteur peut-il afficher ?
  3. Fidélité des couleurs : quelle est la précision du rendu des couleurs du téléviseur ?

Chacun des 8,3 millions de pixels du Z85A est composé de trois sous-pixels : un rouge, un vert et un bleu. On obtient du blanc lorsque ces trois sous-pixels rayonnent en même temps et avec la même intensité. La luminosité maximale produit donc le blanc le plus clair, tandis que la luminosité minimale donne le noir le plus profond. Entre les deux, on trouve donc des nuances de gris plus ou moins claires, on parle aussi de mesurer l’échelle de gris.

Plus la différence entre les pixels les plus clairs et les plus sombres est grande, meilleur est le contraste. Comme pour tous mes essais de téléviseurs OLED, je fais l’économie d’une mesure de contraste, car les pixels OLED peuvent s’éteindre complètement. Le taux de contraste tend donc de toute façon vers l’infini.

Question 1 : EOTF, balance des blancs et balance des couleurs

Les niveaux de gris du Panasonic Z85A sont bons, mais imparfaits. Jusqu’à environ 70 % de luminosité, le téléviseur suit la ligne de référence (jaune), après quoi les nuances de gris sont légèrement plus sombres dans les zones les plus claires. Ça peut sembler négatif, mais ça pourrait parfaitement être un choix conscient de Panasonic afin d’économiser l’énergie et de ne pas en demander trop à la dalle.

La balance des couleurs sans luminosité est très stable. Cela signifie que l’échelle de gris a un aspect chromatique neutre, sans qu’une couleur ne l’emporte ou ne se laisse dominer.

Passons maintenant à la balance des couleurs mesurée avec la luminosité :

En ce qui concerne l’équilibre des couleurs avec la luminosité, on remarque à partir d’environ 60 % que les trois couleurs (rouge, vert et bleu) faiblissent simultanément. Entre 70 et 90 %, les couleurs sont nettement moins intenses qu’elles ne devraient l’être, mais comme toutes les couleurs faiblissent en même temps, aucune ne prend le dessus. La plupart des gens ne percevraient cela que comme une image un peu trop sombre.

Question 2 : couverture de l’espace colorimétrique

Dans l’ensemble, le Z85A fait donc bien son travail, mais n’arrive pas à la cheville d’appareils plus chers comme le G4 de LG ou le S95D de Samsung, qui sont supérieurs dans les tons gris clair et les couleurs.

Pour la couverture des espaces colorimétriques HDR, je mesure les valeurs suivantes :

La Z85A offre donc une très bonne couverture de l’espace colorimétrique DCI-P3 avec 95,03 %. C’est à peine moins que les 96,58 % de couverture atteints par le G4 de LG ou les 99,95 % obtenus par le S95D de Samsung. Notons que la technologie (QD) OLED a un peu d’avance dans ce domaine. En pratique, ces différences sont insignifiantes.

Question 3 : fidélité des couleurs

Venons-en à la troisième question, à savoir la fidélité des couleurs. Elle décrit la précision avec laquelle les couleurs sont représentées. L’écart entre le téléviseur et la valeur de référence est donnée en DeltaE (dE). Le blanc indique les couleurs de référence envoyées au téléviseur par le générateur d’images tests, les cercles noirs ce qui a été mesuré sur le téléviseur.

Le Z85A obtient un bon DeltaE de 3,14. Ce n’est certes pas le meilleur score, mais il n’est pas non plus très éloigné du G4 de LG et de son DeltaE de 2,95. Le Bravia 9 de Sony, la meilleure TV mini LED de Sony sur le marché que j’ai testée ici, obtient même un DeltaE plutôt médiocre de 4,07.

Reflets

Les reflets à l’écran ne sont pas mesurables en soi. Il me semble cependant important d’en tenir compte dans mes tests. Pour la première comparaison, j’ajoute une image de mon essai avec le G4 de LG. Les photos ont été prises aux alentours de midi et sans que j’assombrisse la pièce pour l’occasion :

C’est Panasonic qui l’emporte ici : sur le LG G4 à droite, la lampe orange est en effet clairement visible, alors que sur le Z85A, elle reste agréablement tamisée. Mais à part cela, les deux téléviseurs peuvent bien absorber et dissimuler la lumière ambiante.

Lorsque l’écran est allumé, même le Z85A, avec sa luminosité de pointe d’environ 800 cd/m², rayonne suffisamment pour masquer les reflets, même dans les scènes sombres. Mais on les distingue quand même. Notamment au début de Blade Runner 2049 :

Samsung a lui-même montré cette année comment gérer parfaitement les reflets, mais avec son produit phare OLED, le S95D. Voici la comparaison avec la TV allumée :

Ce n’est pas une erreur ou une retouche, l’image de droite est en fait l’écran du Samsung S95D photographié exactement de la même manière. Vous ne voyez pas le moindre reflet ? Moi non plus ! Mon salon est pourtant lumineux. C’est clair, la couche antireflet du téléviseur OLED de Samsung me manquera cruellement sur tout téléviseur n’en étant pas doté.

L’image : couleurs riches et détails précis

Si mes rapports concernant les deux autres TV vous intéresse, rendez-vous ici :

En comparaison directe, on remarque toutefois que l’image du Z85A tend légèrement vers le jaune. Le G4 de LG met en scène les ombres avec plus de force et semble ainsi un peu plus vivant, tandis que le S95D de Samsung met l’accent sur des tons chair plus réalistes. En fin de compte, c’est surtout une question de goût puisqu’aucun téléviseur ne présente de grave faiblesse.

Source : Disney+, « Les Gardiens de la Galaxie, Vol. 2 ». Timestamp : 00:56:47.

Mais là encore, le Z85A de Panasonic ne présente pas de graves faiblesses.

Source : Disney+, « Avatar : la voie de l’eau ». Timestamp : 00:48:23.

En revanche, je trouve l’image de Panasonic presque parfaite dans le James Bond Skyfall, et plus précisément dans la scène où James et Q contemplent un tableau bien précis dans le musée : un imposant navire de guerre vieillissant destiné à la démolition. Une allusion subtile à la situation de Bond.

L’image du Z85A de Panasonic me semble agréablement naturel. Ça me plaît. Mais le G4 de LG est un peu plus chaud en comparaison, notamment dans la représentation des tons chair, et cela me plaît encore plus. En revanche, l’image de Samsung marque des points en comparaison avec un rose un peu plus réaliste. Est-ce mieux ? Je pense que c’est une question de goût.

Source : Apple TV+, « James Bond – Skyfall ». Timestamp : 00:39:02.

Black crush et ombres

Comment se débrouille le Z85A de Panasonic dans les scènes sombres ? Pour ce test, j’utilise la première scène de Blade Runner 2049.

Le téléviseur Panasonic est peut-être moins lumineux que les modèles de LG et de Samsung, mais il convainc par son excellent équilibre des couleurs. La pratique confirme nos mesures de la balance des blancs.

Source : Blu-ray UHD, « Blade Runner 2049 ». Timestamp : 00:04:50.

Gradation lumineuse

Source : Blu-ray UHD, « Jurassic World ». Timestamp : 00:21:18.

Le G4 de LG et le S95D de Samsung maîtrisent également cette tâche sans faiblesses apparentes. En fait, je dirais que les trois téléviseurs reproduisent les dégradés de manière presque identique. Cependant, chez LG, j’ai dû régler la gradation lisse pour le contenu HDR sur « moyen » pour obtenir ce résultat.

Le processeur : du judder au gaming en passant par l’upscaling – tout est sous contrôle

Parlons maintenant du processeur, c’est-à-dire le « cerveau » de la télévision. Il traite les signaux d’image entrants, les analyse et optimise leur rendu à l’écran. Pour ce faire, il réduit le bruit d’image, renforce les couleurs, lisse les bords, assure des mouvements plus fluides et complète les informations de pixels manquantes lors de l’upscaling afin d’améliorer la qualité de l’image.

Dans le Panasonic Z85A, c’est le HCX Pro AI-Processor MK II qui est à l’œuvre. Voilà un nom qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction (non mais sérieusement, qui a bien pu inventer un tel nom !?). On le retrouve exclusivement dans les modèles haut de gamme de Panasonic.

Motion processing et judder

Source : Blu-ray UHD, « 1917 ». Timestamp : 00:42:25.

Une chose est sûre; le MK II de Panasonic n’a pas à rougir de la comparaison avec le processeur Alpha 11 de LG. Et ça n’est pas peu dire, car le processeur de LG compte parmi les meilleurs de la discipline depuis des années déjà. Je dirais même que Panasonic présente moins de scintillements et de saccades dans l’image que le processeur Neural Quantum de Samsung.

Passons à la scène suivante de 1917. Ici aussi, le travail de caméra de Mendes présente un immense défi pour la plupart des processeurs. Notamment lorsqu’il y à l’image des bords nets sur un arrière-plan flou, comme autour des casques des deux soldats. Là, le processeur et les pixels doivent réagir très rapidement.

Source : Blu-ray UHD, « 1917 ». Timestamp : 00:42:25.

Dans cet exemple également, le processeur de Panasonic n’a rien à envier à ses puissants concurrents et présente un aspect agréablement lisse. Sans loupe, je suis bien incapable de distinguer le moindre problème dans le rendu très fluide du mouvement de caméra.

Temps de réponse des pixels

Passons au contenu original Apple : For All Mankind. Il me sert à constater le temps nécessaire pour qu’un pixel change de couleur. Si le changement n’est pas assez rapide, cela donne l’impression que l’image s’estompe, on appelle ce phénomène le « ghosting ». Lorsque la caméra se déplace sur la surface de la lune, regardez bien le texte qui s’affiche en bas à gauche.

Source : Apple TV+, « For All Mankind », saison 1, épisode 5. Timestamp : 00:00:10.

Vous voyez quelque chose ? Moi rien. Comparé à l’image du S95D de Samsung sur laquelle on voit même un léger judder autour de la fusée lorsque la lune passe en arrière-plan. Chez Panasonic, en revanche, tout reste fluide et les textes sont incroyablement nets.

C’est tout sauf évident. Pour montrer ce que je veux dire, j’ai ajouté à la fin une comparaison avec le modèle C82 de TCL. Je dois toutefois préciser que c’est un modèle plus ancien de deux ans. Cet exemple ne doit donc servir que d’illustration, d’autant plus que TCL a déjà apporté de nettes améliorations aux modèles suivants.

Conversion ascendante

Passons maintenant au test le plus exigeant : je veux savoir dans quelle mesure le processeur peut améliorer les sources de maigre qualité, qu’il s’agisse de Blu-rays, de TV en direct ou de The Walking Dead. La série a délibérément été filmée en 16 mm afin de créer une atmosphère post-apocalyptique grâce au grain si particulier de la pellicule et au bruit de l’image. Observez attentivement la zone sombre entre les deux hommes.

Source : Netflix, « The Walking Dead », saison 7, épisode 1. Timestamp : 00:02:30.

Gaming : mode jeu et input lag

En mesurant l’exactitude des couleurs en mode jeu, j’obtiens un DeltaE moyen d’un bon 4,19 (consultez la rubrique « Écart de couleur » ci-dessus si vous souhaitez plus de détails). C’est à peine moins bien que le DeltaE de 3,44 que j’ai mesuré sur le G4 de LG.

D’autant plus que le téléviseur prend en charge toutes les fonctionnalités pertinentes pour les joueurs et les joueuses :

  • 4x ports HDMI 2.0, dont deux avec spécifications HDMI 2.1 (4K120Hz) ;
  • Auto Low Latency Mode (ALLM) ;
  • taux de rafraîchissement variables (AMD FreeSync Premium Pro).
Source : PS5, « Spider-Man : Miles Morales », mode 120 Hz, VRR et ray tracing activés.

Il est également impressionnant de constater la mise en scène des contrastes et couleurs par la dalle OLED de Panasonic : le rouge et le bleu vifs du costume de Spider-Man brillent littéralement, tandis que le noir profond contrebalance cela parfaitement. Même lors des mouvements de caméra les plus rapides, l’image reste parfaitement nette et les détails sont clairement visibles.

Fire TV : bien intégré, mais très centré sur Amazon

Les services Amazon comme Prime Video, Amazon Music et Luna, le service de cloud gaming maison, sont également intégrés de manière proéminente dans le système. Si vous utilisez déjà ces plateformes, vous profiterez d’une intégration sans faille. En même temps, Fire TV offre un large choix d’applications, y compris Netflix, YouTube, Disney+ et Plex, de sorte que tous les services de streaming courants sont disponibles.

Source : Panasonic Fire TV

Bilan

Précision des couleurs, fluidité, mais manque de luminosité

Le Z85A de Panasonic est un solide téléviseur OLED de milieu de gamme qui se distingue par l’équilibre et la précision de ses couleurs. Le processeur HCX Pro AI MK II offre un traitement convaincant des mouvements et du bruit d’image, qu’il réduit considérablement, même pour des sources exigeantes. Le Z85A présente des faiblesses notamment au niveau de sa luminosité de pointe qui, avec 809 nits, pèche un peu comparé aux modèles phares de LG et Samsung.

Les joueurs et joueuses y trouveront leur compte : faible input lag, 4K 120 Hz et compatibilité VRR complète en font un téléviseur parfaitement équipé pour les jeux d’action. En revanche, le système d’exploitation Fire TV est certes intéressant pour celles et ceux qui utilisent les services d’Amazon, mais reste purement fonctionnel et peu spectaculaire en dehors de cet écosystème.

Pour conclure, si vous cherchez une alternative moins coûteuse que les modèles haut de gamme et que le manque de luminosité ne vous dérange pas, le Panasonic Z85A un excellent appareil polyvalent.

Pro

  • couleurs fidèles et équilibrées
  • excellent traitement des mouvements
  • mode jeu réactif avec un faible input lag
  • Fire TV avec intégration d’Alexa
  • image naturelle pour les contenus HDR

Contre

  • luminosité de pointe nettement inférieure aux modèles haut de gamme
  • compatibilité limitée avec DTS
  • Fire TV très axé sur les services d’Amazon
Photo d’en-tête : Luca Fontana

Cet article plaît à 16 personne(s)


User Avatar
User Avatar

J’écris sur la technologie comme si c’était du cinéma – et sur le cinéma comme s’il était réel. Entre bits et blockbusters, je cherche les histoires qui font vibrer, pas seulement celles qui font cliquer. Et oui – il m’arrive d’écouter les musiques de films un peu trop fort. 


Test de produit

Nos expertes et experts testent les produits et leurs applications, de manière indépendante et neutre.

Tout afficher

Ces articles pourraient aussi vous intéresser

  • Test de produit

    Le G5 de LG à l’essai : l’OLED n’a jamais été si lumineuse

    par Luca Fontana

  • Test de produit

    Essai du Samsung S95D : le meilleur téléviseur OLED pour les pièces lumineuses

    par Luca Fontana

  • Test de produit

    Samsung QN900D à l'essai : l'IK 8K est-elle convaincante ?

    par Luca Fontana