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Ce toit en terre cuite est composé de panneaux solaires
par Lorenz Keller
Le fabricant BMX montre fièrement à l'IFA qu'il a réduit à quasiment zéro le risque d'incendie des batteries lorsqu'elles sont endommagées. Il n'y a plus de surchauffe et, en cas de dommage, la banque d'énergie continue à se charger comme si de rien n'était.
Il y a régulièrement des rappels de produits de powerbanks en raison de défauts de production. Emirates est la première grande compagnie aérienne à interdire l'utilisation des powerbanks dans les avions. Le fabricant BMX promet que ses nouvelles batteries ne présentent pas de risque d'incendie.
Avant même l'IFA, BMX - acronyme de Better Mobile Xperience - a lancé une campagne Kickstarter pour ses powerbanks. Lors du salon Tech de Berlin, j'ai pu prendre en main les batteries et constater de mes propres yeux leur robustesse.
Pour ses powerbanks, le fabricant a recours à une technologie dite "solid-state". Pour simplifier, on utilise des cellules de batterie qui sont un corps solide sans liquide. Les batteries au lithium habituelles contiennent en revanche un liquide qui s'enflamme en cas de dommage. Sans liquide, pas de feu ni d'explosion.
Au contraire, les powerbanks vendus sous le nom de produit «Solid Safe» continuent de fonctionner et de recharger les appareils connectés même si un clou est enfoncé.
BMX propose ses powerbanks Solid State avec deux capacités : 5000 et 10 000 mAh. Les deux modèles délivrent jusqu'à 30 watts via USB-C et transmettent jusqu'à 15 watts sans fil. Ils se fixent magnétiquement aux iPhones et au Pixel 10. Un petit écran couleur indique quel port fournit quelle puissance, tandis que le powerbank charge jusqu'à trois appareils simultanément - sans fil et via deux ports USB-C. Un court câble USB-C est inclus et se cache dans la sangle de maintien.
Sur Kickstarter, BMX vend les powerbanks pour 49 ou 59 dollars. Les prix de vente ultérieurs devraient être de 79 et 99 dollars. Les Powerbanks seront expédiés dans le monde entier via Kickstarter. On ne sait pas encore ce qu'il en sera de leur disponibilité chez nous.
Lorsque j'étais à l'école primaire, je m'asseyais dans le salon d'un ami avec de nombreux camarades de classe pour jouer à la Super NES. Aujourd'hui, je mets directement la main sur les dernières technologies et les teste pour vous. Ces dernières années, j'ai travaillé chez Curved, Computer Bild et Netzwelt, et maintenant chez Digitec et Galaxus.
Du nouvel iPhone à la résurrection de la mode des années 80. La rédaction fait le tri.
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