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Critique

Sombre, captivant et tout simplement incroyablement bon : "The Drifter" en essai

Philipp Rüegg
17/7/2025
Traduction : traduction automatique

Si Max Payne était un vagabond australien perdu dans un jeu d'aventure point-and-click pixellisé, il pourrait être "The Drifter". Sauf que dans ce jeu, il doit utiliser sa tête plutôt que des flingues.

Un coup derrière la tête et tout devient noir. Quand je reviens à moi, je suis sous l'eau. J'ai du mal à respirer et j'essaie de nager vers la surface. Mais mes mains et mes pieds sont attachés et un sac en papier sur ma tête me bloque la vue. D'une manière ou d'une autre, je parviens à sortir mon couteau de ma poche. Je coupe les liens et arrache le sac de mon visage.

Si je n'avais pas manqué d'air de toute façon, ma respiration se serait bloquée dans ma gorge au plus tard à ce moment-là. Je suis entouré de corps sans vie qui flottent comme des bouées dans l'eau. Ils n'ont pas eu la chance d'avoir un couteau. Avant de les rejoindre dans la tombe humide, je me sauve de justesse à la surface de l'eau. J'ai réussi ! En fait, mon aventure ne fait que commencer

Rétro seulement au premier regard

«The Drifter» est un jeu d'aventure en pointer-cliquer typique de ceux qui ont fait la gloire de Lucas Arts dans les années 90. Et c'est exactement ce à quoi il ressemble : des graphismes anguleux en pixels et une écriture en blocs à peine lisible. Un rêve pour les amateurs comme moi, qui ont grandi avec ces jeux.

Les chapitres de «The Drifter» se limitent à une poignée de lieux, à une exception près. Il n'y a pas beaucoup de personnages. Je ne dois consulter le guide de lecture qu'à deux reprises, car je sais ce qui est demandé, mais je n'arrive pas à le mettre en pratique.

Le journal est également très utile. Celui-ci enregistre les événements les plus importants à l'aide d'images et de courtes descriptions textuelles et me révèle quel est mon objectif actuel.

Une bande-son de première qualité

Le reste du casting est également convaincant. Bronwyn Turei, dans le rôle de Sarah Carter, trouve le parfait équilibre entre une ex-femme réprobatrice et une ex-femme compatissante qui n'a pas froid aux yeux. Shogo Miyakita, quant à lui, incarne le policier un peu cliché Hara, qui me poursuit d'abord et finit par se ranger de mon côté. Il m'appelle toujours «Boss». Comment pourrais-je ne pas l'aimer ?

Pas de singes à trois têtes

Ce qui distingue «The Drifter» des autres jeux d'aventure, c'est le ton. Bien que le jeu ait un côté humoristique, le ton général est beaucoup plus sombre que celui des autres jeux du genre. Il ne faut pas longtemps pour que les entrailles de Carter tapissent l'écran. Par moments, je me sens même un peu comme «Saw».

«The Drifter» est disponible pour PC, Mac et Linux et m'a été fourni par Powerhoof.

Bilan

Lucas Arts n'aurait pas pu faire mieux

"The Drifter" m'a captivé dès la première seconde et ne m'a pas lâché jusqu'à la fin. Aucun jeu d'aventure n'a jamais réussi cela. La bande-son continue de résonner dans ma tête des jours plus tard. Tout comme les monologues dramatiques de Carter lorsque je lui ai infligé une nouvelle mort atroce par un mauvais clic. Et le pixel design enchanteur met en scène chaque lieu de manière unique.

J'adore Monkey Island. La dernière partie fait partie de mes jeux de points et de clics préférés. Mais la narration dramatique et le rythme de jeu presque parfait de "The Drifter" surpassent même cette légende du genre. Les énigmes sont évidentes et l'histoire surprend toujours par des rebondissements inattendus. Elle n'hésite pas à aborder des thèmes lourds, tout en gardant dans ses bagages une ou deux blagues.

"The Drifter" est un thriller captivant qui vous entraîne dans un tour de montagnes russes endiablé que vous ne devriez pas manquer.

Pro

  • une histoire captivante
  • magnifiques graphismes en pixels
  • bande-son cinématographique
  • bon rythme

Contre

  • parfois un peu d'essais et d'erreurs

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Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir de console. Ce n’est qu’avec l’arrivée du PC familial 486 que le monde magique des jeux vidéo s’est ouvert à moi. Aujourd’hui, je compense largement ce manque : seuls le temps et l’argent m’empêchent d’essayer tous les jeux qui existent et de remplir mon étagère de consoles rétro rares. 


Critique

Quels sont les films, séries, livres, jeux vidéos ou jeux de société qui valent vraiment la peine ? Recommandations basées sur des expériences personnelles.

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